Parce qu’on compte sur vous pour prendre soin d’eux cet été, nos amis marins vous offrent : 

Et on vous glisse, au passage, 3 éco-gestes qui préserveront leur habitation : 

1/ Choisir une protection solaire non toxique pour la faune et la flore marine

Toujours mieux de se protéger des rayons du soleil sans compromettre l’environnement … ça tombe bien, Ma brume 1,2,3 soleil, conforme à la loi d’Hawaï, protège aussi bien la peau que les fonds marins. Composée à 89% d’ingrédients d’origine naturelle, elle ne contient ni filtres UV oxybenzone (benzophénone–3), ni octinoxate (méthoxycimate d’éthylhexyl), suspectés d’endommager les récifs coralliens. 

Bienveillante envers la peau et cette vie sous l’eau, elle est également composée de filtres minéraux (plus respectueux de l’environnement) et sans nanoparticules (suspectées d’être toxiques pour les planctons). Et bonus, elles ne perturbent ni le comportement alimentaire ni la reproduction des moules (1). 

2/ Ramasser les déchets sur la plage (les nôtres... et ceux des autres)

C’est chaque année aussi désolant, des milliers de tonnes de déchets sont retrouvés sur les plages en France. Finissant dans les mers et les océans, ils sont longs à se décomposer et pendant ce temps ils fragilisent l’écosystème marin. Comment y remédier ?

Commencer par bannir le plastique ! D’après le rapport de l’Ocean Conservancy sur le grand nettoyage annuel des plages, les emballages alimentaires sont les déchets les plus présents (2). Quels types de déchets ? Ceux des pique-niques sont parmi les plus retrouvés !

Comment les réduire, voir les supprimer ? Choisir tout d’abord des contenants réutilisables, des couverts lavables, des serviettes en tissu et des gourdes en inox. Pour la cuisine optez pour des plats maisons faciles à transporter (sandwichs, tartes ou salades). Mieux que les emballages en plastique, optez pour ceux en cire d’abeille.

Pour en connaître davantage sur la durée de vie des déchets dans les océans, nous vous conseillons de lire l’infographie de la fondation Good Planet ici. 

3/ Respecter la biodiversité

On respecte la biodiversité en laissant sable et coquillages à la plage ! Formant l’écosystème de nos littoraux, les ramasser les fragilise… Les coquillages sont l’abri et lieux de vie de nombreuses espèces, comme nos copains les Bernard Lermites. 

Une pratique désormais encadrée par le Code de l’environnement (3), qui la considère comme une atteinte au domaine public maritime fragilisant nos littoraux. Même si les petites quantités ne sont pas soumises aux amendes, leur impact n’est pas sans conséquence. 

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(1) Molga, Paul. “Crèmes Solaires : L'ennemi Invisible Des Océans.” Les Echos, Les Echos, 7 July 2020, https://www.lesechos.fr/thema/articles/cremes-solaires-lennemi-invisible-des-oceans-1221783.

(2) Ocean Conservancy. https://oceanconservancy.org/wp-content/uploads/2019/09/Final-2019-ICC-Report.pdf.